Y'en a, faut qu'ils arrêtent :)

Cette fois ci, il fallait collecter 250 plumes d'oreille de chat-lapin-âne pour obtenir une coiffe fantaisie en forme d'oreilles d'ânes auprès d'un collec. Mais y avait qu'un seul chat-lapin-âne à qui prendre ses oreilles, alors quand je suis arrivé devant avec mes ciseaux, y avait deja une fille qui attendait pour les recuperer...alors on s'est dit qu'on allait les prendre à tour de role, mais y a un troisieme gus qui est arrivé apres... en plus, finalement on savait pas s'il fallait juste des plumes d'oreille ou des oreilles entieres...

Arf j'ai lu trop vite pour anticiper le bide du coup j'suis mort de rire :')

Un chapin, ch'est pas plutot un arbre qu'on décore à Noel ?

Ya pas à dire ... Personne ne t'arrive à la cheville !

Tiens tiens, en vidant un bac de surgelés, y a un "journal du donjon étrange" qui a été droppé, et qui permet à celui qui le ramasse de faire le premier donjon de la liste à l'envers...on trouve de ces choses, c'est fou !

L'autre nuit...dans une grande grande salle de classe, un prof de cinéma nous parlait de "Très discret, le film", un film français parmi les plus gratuitement glauques malsains et gores qui soient. Le narrateur est la soeur du personnage principale, un jeune qui commence à devenir à moitié détraqué. A un moment, ses parents et frères et soeurs sont autour d'une table, debout, comme s'ils recitaient le benedicite avant un repas, et au moment de s'asseoir, leurs chaises disparaissent ou se cassent, et ils tombent cul par terre dans des bassines de yaourt placées là par le jeune dérangé. Plus tard, on descend dans une espece de garage/cave sombre et sinistre, avec sur les murs des étagères couvertes de bocaux contenant des têtes humaines, et dont le formol (ou du moins la substance gluante et répugnante) commence à couler. Il semble qu'au fond du garage/cave il y ait une porte qui donne sur une piece, dans laquelle notre jeune toqué préféré massacre des gens.

D'après le prof de cinéma, un des seuls films qui soient à la hauteur de celui-là, pour ce qui est du GGM (gore glauque malsain), est "La fête des morts-vivants" (ce n'est pas de Romero, c'etait précisé dans le rêve). Là, le perso principal est un attardé mental dont le sang rend joyeux les morts-vivants qui le boivent.

Sinon, on voyait la maison de notre prof de ciné, une construction curieuse, dont le toit, qui était en fait le feuillage d'un grand arbre tropical, ne couvrait qu'une moitié du salon (à l'étage). Et je me disais que ce ne devait pas être pratique, les jours de pluie.

Un collector ! bon, c'est juste la fin, mais c'est ce que je me rappelle le mieux - et c'est aussi le meilleur je crois.

Je bossais chez picard (celui-là etait situé dans une cité - un jour par semaine on devait travailler dans un picard de quartier difficile : la solidarité picard !), et un de mes collègues me racontait un film qu'il avait vu au ciné :

Le film commence par une période au cours de laquelle les gens de très bonne famille avaient eu le droit de massacrer impunément tous ceux de plus basse origine. Première scène : un soir, une femme va rendre visite à ses voisins (un couple, et leur fils, un jeune de 16 17 ans). Ces trois là sont visiblement de bonne famille, et la visiteuse ne cesse, en parlant, de se corriger, de bafouiller : visiblement elle essaie de parler le plus correctement possible pour faire croire qu'elle est de bonne famille, mais ça ne marche pas. Il me semble qu'elle parle de thé, comme si elle voulait les inviter, ou je ne sais quoi, mais plus ça va, et plus elle se rend compte que son imitation n'est pas convaincante et elle est très mal à l'aise. Au bout d'un moment, elle tourne le dos à son hôtesse, qui lui demande si elle va rentrer chez elle. L'autre ne répond pas, et Madame Bonne Famille lui fracasse sur la nuque une théière bleue qu'elle avait dans les mains, la tuant net, en disant "je prends ça pour un non".
Plan suivant : on voit la meme famille. En arriere plan, dans une grande cuisine, la femme qui manie un grand couteau pour couper quelque chose que l'on ne voit pas, mais qui est évidemment sa victime (on comprend d'ailleurs qu'elle coupe la tete en tranches). Le corps est caché par le mari, assis au premier plan, à une autre table, qui a l'air de prendre son petit déjeuner. Son fils vient s'asseoir à la meme table et découpe une brioche avec un couteau ensanglanté, laissant de grosses traces de sang, genre confiture de fruits rouges, sur chaque tranche, en chantonnant quelque chose dont je ne me souviens plus - je crois que c'etait quelques paroles cruelles et sardoniques sur un air improvisé. La mère et le père parlent aussi, mais je ne sais plus ce qu'ils disent.

Scène suivante. Une autre femme de bonne famille est dans son salon, élégamment meublé. Elle téléphone à une de ses amies, d'un milieu plus modeste. On voit l'amie en question en train de rentrer chez elle avec ses 6 ou 7 enfants, tous portent un gros cadeau dans les mains. A ce moment, leur mère répond au téléphone, et son amie lui dit qu'elle est vexée de ne pas avoir été invitée pour Noel, ou quelque chose de ce genre. Elle lui dit aussi quelque chose à propos des cadeaux. A ce moment, la mère dit à ses enfants quelque chose comme "Posez ça et on s'en va !" d'un air affolé. C'est ce qu'elle et tous ses enfants font, sauf deux d'entre eux. Ces deux là regardent le cadeau qu'ils ont dans les mains, et on entend un bruit d'horloge, comme s'il y avait une bombe à retardement. Au moment où leur mère et les autres enfants atteignent la porte, ils se figent sur place avec un jet de vapeur qui leur sort du crâne et ils tombent raides morts. Les deux gamins survivants prennent le combiné du téléphone, et entendent la voix gourmande et doucereuse de l'amie de leur mère, qui leur demande de faire un souhait. Le premier répond "Je ne veux rien !", et du cadeau qu'il avait dans les mains s'échappe une grosse pièce en bronze, qui tombe par terre avec un crépitement d'étincelles, genre bombe désamorcée, puis reste inerte. Le gamin la ramasse, et au moment de la toucher, une chaine de métal jaillit de la pièce (qui a légèrement grossi) et vient se souder au bout du majeur et de l'annulaire de sa main droite. On comprend que le gamin va avoir la vie sauve parce qu'il a fait preuve de sagesse en ne demandant rien, mais qu'il va quand meme porter cette piece comme un boulet toute sa vie, parce que faut pas déconner. Au tour du deuxieme gamin de dire ce qu'il souhaite. Il dit : "je veux...je veux..." et l'image change. Paysage de lisiere de foret, au bord d'une mare dans une clairiere. On voit un immense mammouth (genre 40 metres de haut) au bord de l'eau. Un insecte de la taille d'un ballon de foot s'échappe de sa fourrure, vole au dessus de l'eau où il est gobé par un ver géant sorti de la mare. En replongeant, on perçoit nettement que le ver a pété après avoir mangé le moustique. Là on entend la voix off du gamin dire "je souhaite que ma loutre batte un mammouth". Et effectivement, on voit un animal, dont on sait que c'est une loutre alors qu'il n'y ressemble pas du tout, se jeter sur le mammouth, pourtant énorme par rapport à lui (bon, la loutre doit quand meme faire 3 mètres, mais l'autre en fait 40 :s). La loutre, donc, se jette sur le mammouth de face, lui mords la fourrure, et finalement, on ne sait pas comment, le mammouth se retrouve cul par dessus tete dans un immense tas d'humus qui le recouvre presque, et on entend la voix de cartoon suraiguë de la loutre qui crie "[je sais plus quoi] and the next time, i will kick your ass !".
Plan suivant, je ne sais pas trop comment, mais on finit par lire un résumé au dos d'une boite de dvd d'un film relatant fièrement tout ce que les gens de bonne famille ont accompli pendant cette période de massacre, et il y a notamment la phrase "... et comment nous avons changé notre monde pour permettre à une loutre de battre un mammouth".
A un moment du rêve, peut etre là, on a conscience qu'à mesure que les classes les plus modestes étaient massacrées, les gens d'la haute se sont tournés vers ceux des classes moyennes, qui etaient descendus dans l'echelle sociale, puisqu'il n'y avait plus personne en dessous.

Fin du rêve.

NB à propos du ver géant : un de mes amis me parlait cet été du remake de King Kong, dans lequel, apparemment, il y a des vers géants qui ont une bouche pleine de dents à l'une des extrémités. Il me disait que ce qui les rendait surtout affreux et dérangeants, c'etait le fait qu'ils ressemblaient à la fois à un phallus et à un vagin monstrueux. Et au moment où dans le reve, je voyais le ver géant, qui lui aussi avait une bouche pleine de dents, ces propos réels de mon ami me revenaient en mémoire.

Tetel tu m'fais peur ! :p

A ce stade là, je pense qu'il faut se décider à consulter.

Bon, ce coup-ci, j'ai revé qu'un de mes freres etait un loup garou.

On etait en tout debut de soiree, le ciel était en train de s'assombrir, et deja la pleine lune commençait à briller, mais il n'etait pas encore assez tard pour que mon frere se transforme.

Du coup, j'allais le voir et je lui donnais une amulette que j'avais moi meme bénie et ensorcelée pour l'empecher de se transformer. Je lui demandais si c'etait efficace, il me repondait que oui, mais ça le faisait chier de dormir avec, il voulait juste la poser sur sa table de nuit.
Jje le lui lançais donc un sort de bénédiction, pour essayer de calmer la bete en lui, mais je craignais que ce soit peu efficace
Je bénissais également de cette façon la porte de la chambre de mon autre frere, pour empecher la bete d'entrer, tandis que moi je me preparais à passer une sale nuit, à essayer de repousser le loup garou à coups de benedictions...
L'histoire se passait dans la maison que j'habitais à Dijon ; mon frere-garou avait sa chambre habituelle, le frère-pas-garou utilisait ma chambre, et moi-même, celle de mes parents.

Pour ce que je peux en juger, c'ets issu un peu du film Wolf, avec Jack Nicholson, et surtout du jeu de rôle dont j'ai fait une partie à Dijon, il y a une dizaine de jours...

Alastarine offrait des fleurs à Siko. Je faisais donc remarquer en plaisantant à Stella que c'était la deuxième fois que son mari offrait des fleurs à une inconnue. Du coup elle se mettait à me courir après, dans sa robe de mariée, comme des enfants qui jouent à se poursuivre. Je me rappelle d'ailleurs que je courais en agitant les bras de façon assez ridicule, à la manière de Ed (Cowboy Bebop), ou de Jim Carrey (dans Disjoncté).

Très sympa Cowboy Bebop soit dit en passant

Après avoir lu l'intégralité de ce topic, j'me dis que ça devait être Folklo chez les Blam avec ce Telrick ôO
Heureusement qu'il joue plus en fait. Un chieur de plus, v'la le truc ...

Boris, t'as raison quand tu dis qu'il existe pire ... (en même temps, ya toujours pire, juste que j'pensais pas le trouver chez les Blam =/)

Parce que vous l'avez déjà chez les [Croc]s?

Chez les [Croc] tu sais tres bien qu'on est adoooorables ... =)

Jeee suiiis touujouuurs lààà...alors surveille tes paroles, p'tit gars ;-)

Entre nous soit dit, j'ai encore fait des rêves curieux cette nuit justement, mais je crois que vous ne méritez pas que je vous les raconte...

M'appelle pas p'tit gars, j'en suis pas un.

Moi j'veux savoiiiir le rêve, allezzz

Même pas en rêve ! (hahaha)

Pff.

Envoie allez, y'a encore des lecteurs ici !

edit : ahahahah je sais!!!

c'pas juste ! Moi chais pas !

Ouais ! On voudrait savoir aussi.